"Moi, ce qui m'a marqué, c'est la fille qui veut aller à l'école pour être une femme libre."
Eléa, 13 ans.
Eléa, 13 ans.
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La cour de Babel est un documentaire qui relate le quotidien d'une classe d'accueil et de sa professeur de français, à Paris, dans le 10e arrondissement. Y sont accueillis des élèves venant de pays étrangers et ne maîtrisant pas suffisamment la langue de Molière pour intégrer une classe traditionnelle. En fonction de leur niveau et de leur évolution, les élèves restent plus ou moins longtemps dans cette classe.
On s'attache à ces collégiens, à leur vie à Paris, aux différents chemins qui les ont amené en France :
- Xin, de Chine, séparée de sa mère pendant 10 ans et qui n'a pas encore trouvé son bonheur en France, avec une mère très prise par son travail dans un restaurant chinois.
- Andromeda, de Roumanie, qui a rejoint son père à Paris avec un seul but en tête : faire des études !
- Djenabou, de Guinée, plutôt rebelle, mais qui aurait, semble-t-il tout intérêt à bien travailler à l'école, pour éviter un retour au pays dans sa famille élargie avec un éventuel mariage à la clé, voire une excision.
Etc, etc...
Les parents (ou proches) qui s'occupent de ces collégiens sont également très touchants, telle cette mère analphabète africaine qui exhorte sa fille à étudier pour avoir des valeurs et un bel avenir professionnel.
Un documentaire qui suscite la réflexion sur l'importance de l'école, sur les différences culturelles et religieuses, sur la migration (un des temps forts du documentaire : lorsque l'enseignante demande aux élèves ce qu'ils ont fait juste avant de partir de leur pays), etc.
Un documentaire à montrer aux collégiens et lycéens et à tout adulte aussi, bien sûr.
Arte a diffusé ce documentaire le 7 septembre dernier. vous avez donc jusqu'à 14 septembre pour le regarder en replay.
La cour de Babel est un documentaire qui relate le quotidien d'une classe d'accueil et de sa professeur de français, à Paris, dans le 10e arrondissement. Y sont accueillis des élèves venant de pays étrangers et ne maîtrisant pas suffisamment la langue de Molière pour intégrer une classe traditionnelle. En fonction de leur niveau et de leur évolution, les élèves restent plus ou moins longtemps dans cette classe. On s'attache à ces collégiens, à leur vie à Paris, aux différents chemins qui les ont amené en France :- Xin, de Chine, séparée de sa mère pendant 10 ans et qui n'a pas encore trouvé son bonheur en France, avec une mère très prise par son travail dans un restaurant chinois.
- Andromeda, de Roumanie, qui a rejoint son père à Paris avec un seul but en tête : faire des études !
- Djenabou, de Guinée, plutôt rebelle, mais qui aurait, semble-t-il tout intérêt à bien travailler à l'école, pour éviter un retour au pays dans sa famille élargie avec un éventuel mariage à la clé, voire une excision.
Etc, etc...
Les parents (ou proches) qui s'occupent de ces collégiens sont également très touchants, telle cette mère analphabète africaine qui exhorte sa fille à étudier pour avoir des valeurs et un bel avenir professionnel. Un documentaire qui suscite la réflexion sur l'importance de l'école, sur les différences culturelles et religieuses, sur la migration (un des temps forts du documentaire : lorsque l'enseignante demande aux élèves ce qu'ils ont fait juste avant de partir de leur pays), etc. Un documentaire à montrer aux collégiens et lycéens et à tout adulte aussi, bien sûr. Arte a diffusé ce documentaire le 7 septembre dernier. vous avez donc jusqu'à 14 septembre pour le regarder en replay. 
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